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Un mouvement inédit de création d’entreprises a pu émerger grâce à un cadre de plus en plus favorable et l’intérêt croissant des investisseurs

Publié en août 2021

Porté par une forte demande, l’or noir retrouve son prix d’avant la pandémie et pourrait même le dépasser d’ici la fin de l’année.

Publié en août 2021

Dans les années à venir, l’Afrique va devoir se doter de plus de 700 centres de données, si elle veut profiter du boom du secteur et assurer sa souveraineté numérique.

Publié en août 2021

L’électricien sud-africain cherche 10 milliards de dollars pour dire adieu à cette énergie fossile.

Publié en août 2021

La crise mondiale a mis à nu l’échec du modèle économique de l’Afrique et aggravé ses faiblesses. Des voix s’élèvent pour tirer des leçons de cette période compliquée et opérer à de profondes transformations.

Publié en octobre 2020

Pionnier des envois de fonds en ligne, le britannique se renforce en Afrique en rachetant pour 500 millions de dollars Sendwave, autre concurrent des transferts 100 % numérique.

Publié en octobre 2020

Solutions face aux devises régulièrement dévaluées et aux coûts de transaction élevés, les cryptomonnaies séduisent les Africains, particuliers comme entreprises.

Publié en octobre 2020

Les États-Unis tentent d’enrayer l’irrésistible ascension de la Chine en Afrique et d’y restaurer leur influence économique. Une contre-offensive qui passe par la prise de contrôle des leviers de financement sur le continent. Cible prioritaire, la Banque africaine de développement (BAD).Un boulevard s’ouvrait à lui. Akinwumi Adesina, le premier Nigérian président de la BAD, avait un tapis rouge déroulé devant lui pour décrocher, le 31 août, un second mandat de cinq ans à la tête de la banque panafricaine. Il demeure le seul candidat à sa propre succession, mais l’homme est fragilisé, propulsé dans un combat qui le dépasse. Car la guerre économique entre les États-Unis et la Chine traverse aussi l’Afrique. Et côté américain, la BAD est une pièce maîtresse à contrôler dans cette bataille.

Publié en juillet 2020

L’année 2020, très incertaine, risque de peser lourd sur les places du continent. Braderie à la Bourse de Johannesburg (JSE) depuis le 11 mai. Afin de redonner un peu de vie à la première place financière du continent, la JSE a offert aux entreprises cotées ou cherchant à lever des fonds la réduction de 50 % des frais de négociation, de compensation et de règlement ; des délais de paiement prolongés de trois à six mois sans intérêt pour les sociétés en difficulté ; et la diminution de 25 % des frais pour les petites entreprises qui cherchent à lever des capitaux. Des mesures qui « visent à stimuler la liquidité et à soutenir ce nœud vital de notre économie », a justifié Leila Fourie, directrice générale de la Bourse sud-africaine.

Publié en juin 2020